Nos collaborations sont régulières et anciennes et visent à donner une cohérence nationale à nos démarches.

L’OBSTA

L’Observatoire sur les Troubles Spécifiques des Apprentissages

L’Observatoire consacre son activité à développer et à approfondir les liens entre l’école et le système de soins. Grâce à un problème majeur de santé publique comme les troubles spécifiques des apprentissages, le développement de pratiques pédagogiques différenciées en lien avec la prise en charge adaptée avec les professionnels de la santé, lui paraît un axe de travail essentiel.

En collaboration avec l’ARTA, l’OBSTA se consacre à la formation et à la sensibilisation de l’ensemble des professionnels concernés. Ces formations sont ouvertes aux parents. Lieu Paris.

Contacts pour s’inscrire
Par téléphone : 01 42 72 89 41 
Par mail : signes.ed@free.fr ou catherine.billard@bct-hop-paris.fr

La FNO

La Fédération nationale des orthophonistes

La FNO a été créée en 1968. Elle fédère actuellement 23 syndicats régionaux et 65 syndicats départementaux de métropole et d’Outre-Mer. Elle est la seule fédération reconnue représentative à ce jour par l’Assurance maladie. L’exercice professionnel, la formation initiale et continue, la prévention, l’information, la recherche, l’édition et l’organisation de manifestations professionnelles et scientifiques font partie des principaux secteurs de son activité. Elle est à l’origine de la création de l’UNADREO (Union nationale des associations pour le développement de la recherche et de l’évaluation en orthophonie) et d’ODM (Orthophonistes du Monde), association à vocation humanitaire et d’aide technique.

Leur email :
contact@fno.fr

L’INS HEA

L’Institut National de Formation et de recherche pour l’éducation des jeunes Handicapées et les Enseignements Adaptées

La mission centrale de l’INS HEA est la formation d’enseignants, de directeurs d’établissement, d’inspecteurs, dans le domaine de l’adaptation et de l’intégration scolaire.

L’INS HEA est aussi un centre de ressources. Il édite des ouvrages, films vidéo ou Cederom ainsi que la Revue de l’Adaptation et de l’Intégration scolaire.

Le projet de recherche GENEDYS

Pour en savoir plus…
(Site Genedys)

EN RÉSUMÉ

Neurodys : le projet de recherche européen
Genedys : la déclinaison française
Les équipes : chercheurs, médecins et centres référents des troubles du langage (entre autres)

Principe, déroulement et objectif :
> 4 000 volontaires (environ 1 400 français) ;
> 3 phases : tests de la population cible, analyses et résultats, développement de moyens ;
> constituer la plus grande base de données biologiques de la dyslexie.

Article écrit en janvier 2014

  • Un projet de recherche pour définir les origines cognitives, cérébrales et génétiques des troubles développementaux du langage
  • Genedys s’inscrit dans le cadre d’un projet à échelle européenne : Neurodys.
  • Ce dernier réunit 15 groupes de recherche scientifique et clinique d’excellence, dans 9 pays de la communauté.
  • Initié en février 2007, le programme a démarré par une phase de recueil de données qui s’est achevée en 2010. Un panel d’enfants dyslexiques (environ 4 000), âgés de 8 à 12 ans, ont ainsi participé à une série de tests pour évaluer leurs capacités cognitives, plus particulièrement sur le plan du langage écrit et de la lecture.
  • Le volet français du projet, intitulé Genedys, avait recruté à cette première étape 1 400 volontaires (enfants et membres d’une famille présentant les troubles étudiés, mais aussi enfants non dys).
  • Mieux comprendre les bases biologiques de la dyslexie développementale

En plus du financement européen, le projet bénéficie en France du soutien de la Ville de Paris, la Commission Européenne et l’Agence Nationale de la Recherche.

Piloté par des laboratoires du CNRS et de l’INSERM, en collaboration avec six centres référents des troubles du langage à Paris, Lyon, Marseille, Toulouse et Grenoble, GENEDYS vise à expliciter sur les plans cognitif, cérébral et génétique, les causes d’un développement altéré du langage écrit (dyslexie), mais aussi – c’est spécifique à l’équipe française – du langage oral (dysphasie).

Après la compilation de données, la deuxième étape (analyse et résultats) est en cours. A terme, la coopération européenne permettrait de constituer la plus grande base de données biologiques mondiale sur la dyslexie.

Objectifs : définir les causes générales de la dyslexie pour

  • mieux comprendre les mécanismes de ce trouble, tout en dégageant les aspects ; spécifiques à chaque langue ;
  • améliorer le diagnostic et repérer très rapidement les enfants potentiellement dyslexiques ;
  • développer des moyens et mesures de rééducation aussi précoces que possible.